Après notre visite du jardin d’eau, nous sommes retournés à l’aéroport pour récupérer nos bagages. J’avais pu confirmer dans la journée qu’au moins mon bagage était en transit grâce à l’AirTag que j’ai placé dedans. Quelqu’un a dû détecter mon AirTag et payé le WiFi à bord de l’avion et, par chance, a transmis la position de mon AirTag à Apple. C’est mon hypothèse, mais vu que l’AirTag a été détecté à Rouen (peu probable que mon bagage ait fait le trajet d’une autre manière que par avion), ça m’a pas mal rassuré.
Grâce à nos bagages retrouvés, nous avons pu entamer une randonnée un peu plus sérieuse (bien que pas très compliquée) qui n’est autre que la cascade du Bras de Fort.
Nous avons suivi les instructions données par ce blog et nous avons pris notre équipement en conséquence: chaussures et sandales (pour les passages dans l’eau), appareil photo et trépied.
Le chemin n’est pas indiqué sur place si ce n’est le début. Le point sur Google Maps indiquant le parking est bel et bien l’idéal pour débuter.
Nous avons suivi le tracé GPX fourni par le blog afin de ne pas nous perdre, mais les différents points d’observation de la trace GPX sont très utiles puisque la position GPS a du mal à s’adapter au milieu de la forêt.
Le chemin nous fait d’abord passer à travers un sentier agricole où il est possible de voir des bananiers plantains ainsi que d’autres arbres fruitiers.
Après le chemin agricole, nous entamons une grosse montée où l’aide des mains n’est pas de refus. Le sentier étant très boueux et traversant plusieurs fois la rivière, il est sûrement dangereux de s’aventurer par temps de pluie et probablement peu recommandé quelques jours après une grosse pluie.
La montée est directement suivie par une descente tout autant casse-gueule. Il est apparemment possible d’éviter cette montée et descente en suivant la rivière, mais nous n’avons pas tenté cette alternative.
Le long de la rivière offre des paysages superbes avec ses petits réservoirs.
La végétation est particulièrement belle et sauvage puisque tout le lieu est laissé tel quel. Si un tronc tombe au milieu du chemin, il restera là sans que la commune ou autre organisation vienne le retirer (le tronc couché indiqué par l’article du blog est toujours présent, même une année après).
